Augustine, laisses moi conter l' histoire de tes seins.
Qui créèrent, du monde toute la timidité.
Les malheurs de Sophie, et les touts petits chagrins.
Les gros caprices et les princesses, aux cheveux teints.
Aux orgues zarbs, des orbes aux arbres, désordre austral et contingent .
La canicule... Tu te promènes.
L' un-bien est mort. Le filtre bleu ment,
Comme une nuit américaine.
Tu seras belle, ma sentinelle, ma scarlatine.
Comme une pom-pom girl qui saigne du nez.
Sur l'acropole, un jour de chien, au mois de Juillet.
Tu n'était pas mon Augustine.
Non, ne t'inquiètes pas, mon Augustine.
Ta gratuité certaine implique;
Ton immunité.
Qui créèrent, du monde toute la timidité.
Les malheurs de Sophie, et les touts petits chagrins.
Les gros caprices et les princesses, aux cheveux teints.
Aux orgues zarbs, des orbes aux arbres, désordre austral et contingent .
La canicule... Tu te promènes.
L' un-bien est mort. Le filtre bleu ment,
Comme une nuit américaine.
Tu seras belle, ma sentinelle, ma scarlatine.
Comme une pom-pom girl qui saigne du nez.
Sur l'acropole, un jour de chien, au mois de Juillet.
Tu n'était pas mon Augustine.
Non, ne t'inquiètes pas, mon Augustine.
Ta gratuité certaine implique;
Ton immunité.
Texte : Hantoine Corvus (Août 2008)
Photo : Eric Bloch
Photo : Eric Bloch