Tu danse une valse un peu boiteuse, un peu bancale.
Tu tournes en rond ou devrai-je dire, en ovale.
Toute perdue dans l'univers-cité, en rade.
C'est ton chemin de croix, c'est ton iliade.
Les iris de tes yeux, figurent des chrysanthèmes, bleues.
Qu'ils divergent tous les deux ! Je ne serai pas obséquieux !
Les laines obsolètes qui te vêtent, sentent l'odeur de l'est,
Quand tu donnes aux couloirs, de tes manières célestes.
De toi, fée clochante à moi, fier clochard;
J'imagine sonner les tocantes seul dans mon noir.
Tu réprouves, trop facile; de me voir attendre l'heure.
Tu me dis "réfléchis !" Et "pries donc le Seigneur !"
Alors c'est moi le philodoxe. Tu m'éclaires, Dorina !
De tes dorures orthodoxes; venues de Timișoara.
"Il faut de la place dans son cœur, écoutes moi l'aventurier !
Pour soi, pour celle qu'on aime; et pour le monde entier."
Tu tournes en rond ou devrai-je dire, en ovale.
Toute perdue dans l'univers-cité, en rade.
C'est ton chemin de croix, c'est ton iliade.
Les iris de tes yeux, figurent des chrysanthèmes, bleues.
Qu'ils divergent tous les deux ! Je ne serai pas obséquieux !
Les laines obsolètes qui te vêtent, sentent l'odeur de l'est,
Quand tu donnes aux couloirs, de tes manières célestes.
De toi, fée clochante à moi, fier clochard;
J'imagine sonner les tocantes seul dans mon noir.
Tu réprouves, trop facile; de me voir attendre l'heure.
Tu me dis "réfléchis !" Et "pries donc le Seigneur !"
Alors c'est moi le philodoxe. Tu m'éclaires, Dorina !
De tes dorures orthodoxes; venues de Timișoara.
"Il faut de la place dans son cœur, écoutes moi l'aventurier !
Pour soi, pour celle qu'on aime; et pour le monde entier."
Texte : Hantoine Corvus
Photo : Cathédrale Orthodoxe de Timișoara